Quels sont les signes d’une alcoolodépendance ?

Les 29 symptômes de l’alcoolisme à ne pas ignorer chez un proche

Boire un verre d’une boisson alcoolisée n’est pas si mal en soi. Cependant, lorsque cette consommation devient excessive et dépasse trois verres par jour, il faut s’inquiéter. En réalité, l’alcoolisme est une maladie invisible, qui fait autant de ravage que les autres pathologies. Quels sont les signaux d’alerte d’une dépendance alcoolique chez quelqu’un ? On vous dit tout ici.

Une envie puissante et compulsive de boire de l’alcool

Il existe de nombreux signes qui doivent tirer la sonnette d’alarme sur le fait qu’une personne souffre d’une dépendance à l’alcool. L’un de ces principaux symptômes c’est le désir compulsif et puissant de boire des boissons alcoolisées.

Ainsi, quand vous remarquez que l’un de vos proches a ce besoin obsessionnel de toujours boire de l’alcool, vous devez vous inquiéter. Des fois, il peut s’agir de vous-même, dans ce cas, prenez votre courage et essayez d’en parler pour trouver de l’aide.

Les effets de l’alcoolisme ne touchent pas uniquement le buveur en lui causant des problèmes de santé. Ils impactent aussi sur son entourage.

Chez l’enfant l’exposition prénatale à l’alcool (prenatal alcohol exposure) peut entrainer le syndrome d’alcoolisation fœtale (SAF) ou fetal alcohol syndrome en anglais.

D’après les résultats d’une étude du national institutes for health le syndrome d’alcoolisation fœtale (SAF) est une maladie qui peut entrainer des troubles du comportement chez l’enfant toute sa vie. Ce syndrome peut aussi entrainer des difficultés à apprendre chez les enfants. Une personne atteinte du fetal alcohol syndrome peut également présenter des troubles du développement et d’aptitudes sociales.

Les troubles du développement ne constituent pas le seul effet néfaste d’une exposition à l’alcool du fœtus. Selon les résultats de l’étude réalisée par le national institutes for health, le syndrome d’alcoolisation fœtal (SAF) peut aussi engendrer des malformations chez les enfants.

Ainsi, pour prévenir le SAF, il est important d’éviter l’exposition prénatale à l’alcool ou prenatal alcohol exposure. Dans le cadre de la prévention, les résultats de l’étude du national institutes for health suggèrent qu’une femme avec un passif d’alcoolique doit se faire soigner avant de tomber enceinte. En revanche, si elle est déjà enceinte, elle doit arrêter la consommation de boissons alcoolisées.

Par ailleurs, pour éviter une exposition prénatale à l’alcool (prenatal alcohol exposure), les hommes doivent venir en aide à leur compagne. À cet effet, ils doivent eux-mêmes réduire leur consommation d’alcool. Il faut retenir que chaque verre d’alcool en moins diminue le risque que vos enfants souffrent du syndrome d’alcoolisation fœtale (fetal alcohol syndrome) toute sa vie.

L’apparition de symptômes de sevrage lors de l’arrêt de la consommation

L’apparition de symptômes de sevrage lors de l’arrêt de la consommation

Un autre signe d’une dépendance à l’alcool est l’apparition de symptômes de manque quand on essaye d’arrêter de boire. Par conséquent, lorsqu’il arrête ou réduit sa consommation d’alcool, un alcoolique présentera les signes suivants :

  • l’anxiété,
  • des palpitations ;
  • des tremblements ;
  • des nausées ;
  • de l’agitation ;
  • de l’insomnie ;
  • une irritabilité.

À l’apparition de ces symptômes, au lieu d’arrêter de boire, la dépendance va pousser la personne à boire plus pour calmer son état. Si elle n’a pas d’alcool à disposition, elle peut se tourner vers d’autres substances psychotropes comme les anxiolytiques pour se sentir mieux.

La médecine naturelle est l’une des thérapies qui ne causent presque pas d’effets secondaires chez le malade. Ainsi, avec des remèdes naturels comme le rescue fleur de bach, vous pouvez soulager de nombreux maux sans craindre d’effets indésirables. L’extrait de pépin de pamplemousse est aussi une excellente solution pour booster votre système immunitaire et mieux lutter contre les maladies.

Des problèmes de concentration et de mémoire

Des problèmes de concentration et de mémoire

Une consommation excessive d’alcool augmente le risque de souffrir de troubles de la mémoire. Cette habitude altère également les facultés de concentration. Un alcoolodépendant a beaucoup plus de mal à gérer son quotidien. Il n’arrive plus à trouver l’équilibre entre son travail et sa vie personnelle. Alors, il boit plus pour trouver la force de gérer son quotidien et un cercle vicieux s’installe. Outre les problèmes de mémoire, boire trop d’alcool peut entrainer des problèmes de santé comme la cirrhose.

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